Les français boudent les pièces d’occasion

Le site de petites annonces Vivastreet a réalisé un sondage montrant que les français sont réticents à utiliser des pièces d’occasion pour la réparation de leur véhicule. Malgré tout, l’utilisation de ces pièces peut permettre de réaliser de substantielles économies. Cet article fait un point à ce sujet.

L’utilisation de pièces d’occasion sur son véhicule peut permettre de réaliser des économies, pouvant atteindre jusqu’à 30% par rapport à l’utilisation de pièces neuves.

Dans la mesure où le prix des réparations est en constante hausse (+3,5% en 2015 par rapport à 2014), de telles économies sont toujours bonnes à prendre.

En dépit de cette situation, les automobilistes français hésitent encore à acheter des pièces d’occasion.

Selon le sondage réalisé par le site de petites annonces Vivastreet, 54% des personnes interrogées ne sont pas prêtes à utiliser des pièces d’occasion pour réparer leur véhicule.

Cette méfiance résulte du fait que les automobilistes sont méfiants sur l’origine de ces pièces, mais aussi et surtout de leur fiabilité.

Des professionnels proposent toutefois ce type de pièces, ce qui les rend plutôt fiables. Ainsi, on peut trouver sur des sites internet des millions de pièces d’occasion, à des prix intéressants, provenant de véhicules récents, quelque soit la marque ou le modèle.

Dans ce cas, les pièces proviennent de véhicules qui ont pu être retirés de la route de manière prématurée (par exemple en cas d’accident).

Les professionnels proposant ces pièces à la vente réalisent des tests et des contrôles avant de les vendre.

Parmi les pièces qu’il est possible d’acheter d’occasion, on trouve notamment des boites de vitesse, des pare-chocs, des moteurs, des vitres électriques, etc.

Bien entenu, il faut être clair : le risque zéro n’existe pas sur des pièces d’occasion.

A noter que ces pièces bénéficient généralement d’une garantie d’un an, voire davantage.

Relevons également que ne peuvent être vendues d’occasion des pièces touchant à la sécurité, telles que des plaquettes de frein.

A l’heure actuelle, les pièces d’occasion représentent tout au plus 2% du marché.

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